Étiquette : fete

Foires à lien social

La folie des foires à tout en France, un phénomène plus social que commercial. « Tous ces machins électroniques, tous ces trucs en plastique, ça nous sépare les uns des autres », dit un participant de la foire à Eslettes (Haute Normandie). « Alors, c’est assez drôle que les gens renouent le contact en se revendant tous ces foutus objets! ».
Reportage en Normandie, France, pour le magazine Elle.

Voir la série complète

Les étudiants d’HEC fêtent la révolution en beauté

Concert de Bendir Man et joie explosive a l’IHEC de Tunis, dans le quartier huppé de Carthage. Les étudiants ont organisé cet après-midi festive qui leur permet d’une certaine manière de célébrer enfin la chute de Ben Ali, ce qui n’avait pas vraiment été possible jusqu’alors. Une humeur électrique et sincèrement heureuse envahissait le site de l’école d’un bout à l’autre, le 19 février 2011. Réussi à vendre le truc au New York Times !

Bombay Fric & Chic

2004-2008 - Inde
Parutions presse : Elle France / Le Nouvel Observateur (France) / Mir (Russie)
Bombay, capitale financière de l’Inde, et reine des folles nuits, selon le mythe bien entretenu par l’industrie cinématographique de la péninsule. S’il est vrai que c’est à Bombay qu’on fait le mieux la fête dans ce pays de plus d’un milliard d’âmes, l’espoir de se retrouver projeté dès sa première sortie au beau milieu d’un dancefloor de kitsch bollywoodien sera vite déçu. Les scènes tournées dans les usines à rêve de la mégapole se limitent aux salles obscures. Sortir aujourd’hui à Bombay se résume à fréquenter une adresse chic qui a fait ses preuves depuis longtemps, ou à courir vers le nouveau lieu dont tout le monde parle. A celui-ci ensuite de tenter de survivre au-delà de l’effet de mode des débuts. Où l’on y mise à peu près tout sur le design et la carte ; restaurants, clubs et bars, sont des ersatz du Buddha Bar, des copies du Hard Rock Cafe. /.../

Nuits fétichistes

2001 - Paris, Bruxelles, Londres
Le fétichisme est aujourd'hui perçu moins comme une maladie que comme une "scène". La grande majorité des participants à ces soirées envisage la chose comme une pratique érotique ludique, festive et désinhibée. Ces soirées, grand raout de la communauté, tentent de créer un espace de liberté et d'impunité, un décor de théâtre où l'on peut jouer son personnage, oublier les contraintes sociales, la norme, marquer une vraie rupture avec le quotidien. Le dress-code y joue un rôle important ; tous peuvent se rencontrer sur un terrain d'égalité, en théorie du moins, parce que le niveau d'études, l'origine sociale, la profession ou le portefeuille ne comptent plus. A tout le moins, ne se voient plus. Et on se rencontre alors sur la seule base de la séduction et des fantasmes.
Il y a bien entendu toujours la pièce du fond, ou du sous-sol... privilégiant l'intimité, et tous les possibles. Y photographier est quasiment impossible. A moins d'être très discret. /.../
Scroll Up